Têtes brulées : des bonbons de France
Leur Histoire débute lorsque Henry et Georges Verquin fondent une boulangerie dans la région Nord Pas de Calais. Rapidement, ils éprouvent l’envie de se tourner vers la confiserie et franchissent le pas en 1925. Ce n’est pourtant qu’en 1952 que leur entreprise se consacre entièrement à la fabrication de bonbons français. C’est à ce moment que Georges Verquin crée la Pastille du Mineur, qui connaît un succès immédiat dans l’Hexagone et ouvre la voie à d’autres créations : les Têtes Brûlées qui verront le jour quelques années plus tard.
Depuis quelques années, la marque française se réinvente et les jeunes en raffolent.
Du développement de la confiserie à la naissance des têtes brûlées
L’entreprise de confiserie doit cependant son développement à Georges Verquin fils. Volontiers visionnaire et ambitieux, il est conscient des enjeux de la production industrielle et investit dans l’équipement, pour des débits plus importants. Son succès s’appuie pour une grande part sur l’essor des supermarchés dans les années 1980 et 1990. Les bonbons de fabrication française trouvent donc dans la grande distribution un nouveau marché, très prometteur. Georges Verquin est épaulé par sa famille et la confiserie se développe constamment.
C’est dans ce contexte que sont nées les Têtes Brûlées, avec leur acidité intense et pour ainsi dire provocante. Le succès est immédiat et ces bonbons de fabrication française contribuent à révolutionner la confiserie. Les jeunes en raffolent et on se les arrache dans les cours d’école.
L’univers des bonbons français Têtes Brûlées
Dès lors, la gamme va se diversifier, avec l’apparition de billes, de confiseries gélifiées, de pâtes à mâcher et de barres. L’esprit de la marque est conservé : priorité aux sensations fortes, qui séduisent les grands comme les plus petits. Quand on est adepte de ces bonbons de fabrication française, on aime que les choses bougent, on aime rire, s’amuser, et développer toute la palette des sensations.
